Dans un contexte de raréfaction des énergies fossiles et de crise économique, l’augmentation du prix des hydrocarbures et celle à venir de l’électricité, combinée à un pouvoir d’achat déclinant impactent de plus en plus fortement les populations aux moindres ressources.
Ainsi, la part des revenus consacrée par les ménages aux dépenses énergétiques de leur logement s’accroit. D’une situation de vulnérabilité énergétique une partie de la population bascule désormais dans la précarité énergétique.
Après avoir bien parlé contenant, parlons contenu.
Le point de vue d’un maitre d’ouvrage propriétaire et gestionnaire.
Et oui, le bâtiment serait-il devenu une fin en soi ? Serait-il un objet uniquement produit pour lui même ?
Nos villes ne seraient-elles devenues que des musées dans lesquelles nous déambulerions pour nous pâmer devant des natures mortes nommées « bâtiment » ?
Développement humain, développement durable, de quoi s'agit-il ? Quels en sont les enjeux ? Et de quels espaces de développement parlons-nous ?
Le développement humain
Le développement humain dans sa conception diffusée et popularisée par le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) en 1990 peut se définir comme le développement...
De la guerre nait la paix.
Inévitablement, à plus ou moins longue échéance, l'histoire nous prouve que de la guerre surgit la paix. Mais l'histoire bien trop souvent s'arrête à la notion la plus simple de la paix, cette
paix qui dans le sens commun correspond à la paix des armes. Cette paix que les livres d'histoire clôturent par une date, la date du traité signé qui met fin aux hostilités officielles.
Cette paix est une paix civile.
Le développement durable consiste à favoriser un modèle de croissance aujourd’hui qui n’hypothèque pas la capacité des générations futures à répondre aux enjeux de demain.
Cette définition pose en préambule la raison d’être essentielle du développement durable qui est le souci des générations futures…. Et pourtant, la réalité des discours sur ce thème est édifiant, quelques voix timides s’interrogent et avancent des chiffres mais aucun ne pose le vrai débat...
La presse, relayant le sentiment de la majorité des acteurs, semble unanime pour qualifier le sommet de Copenhague d’échec.
Sans alourdir mon propos par une revue de presse longue et fastidieuse, regardons simplement et brièvement les commentaires suivants du journal « Le Monde » du 19 décembre 2009.
Après 12 jours de sommet, le bilan du sommet de Copenhague sur le climat est peu reluisant...